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LA MÉMOIRE DE L'OLIVIER
(2018)
R-C. VIDAL
(2018)
14,8 x 21 cm (A5)
250 pages
100gr Offset Ivoire (Printspeed ivoire)
Pelliculage Mat
250 pages
100gr Offset Ivoire (Printspeed ivoire)
Pelliculage Mat
En 1947, au printemps sous un bel olivier, mon grand-père maternel, Francisco de RUEDA, répond à ma question : « Pépé, cet arbre est-il toujours vert ? ».
– Bien sûr, il ne perd jamais ses feuilles, comme beaucoup d’autres arbres. L’hiver 1956 fut marqué par une vague de froid, avec des records de températures très basses dans l’hémisphère Nord. Le temps fut particulièrement rigoureux en Europe Occidentale, en Italie, en Espagne, dans le Sud-est de la France et au Maghreb. Les oliviers, entre autres, n’ont pas résisté. Mon grand-père François de Rueda, maçon, et peintre orientaliste, avait peint un tableau d’une plantation
d’oliviers squelettiques, sans-doute inspiré par la peinture d’Yves Brayer. J’ai acheté lors d’un voyage, un tableau, représentant un champ d’olivie